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 private life, or not. ~ leeven

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Caroline
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MessageSujet: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyDim 19 Aoû - 21:12

DIMANCHE 19 AOÛT, TARD LE SOIR

La joie était présente dans mon esprit et dans mon corps, je dois l'avoué. Être choisis pour faire partie de l'aventure était une réussite alors que ma famille était persuadé que je serais recalé. Quand je fus arriver dans la maison, l'étage supérieur attira vivement mon attention, c'est pour cette raison qu'après avoir parlez avec quelques personnes, je retournai prêt de Leeven afin de lui prendre le bras. Je le trainai jusqu'en haut, où je regardai les chambres avec hésitation. Je ne savais pas réellement quoi faire, alors je tournai le regard vers celui-ci. « On a la chambre numéro deux. C'est laquelle ? » Je voulais en fait lui montré ce que je voulais, afin qu'il ne soit pas surpris. J'avais l'intention d'allé visité la chambre, pas de couché avec lui dès le premier soir. Je voulais savoir ce que tout ça cachait. Et ensemble était sans doute la meilleure idée.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyDim 19 Aoû - 21:23

Difficile de croire que qui que ce soit se déciderait à quitter la fête pour aller piquer un petit somme, alors que la soirée battait son plein, et que les bouteilles de champagne ne semblaient jamais s'épuiser. Voilà à quoi ressemblait une première soirée, dans ces genres de show : pour ainsi dire, c'était plutôt pas mal et d'ores et déjà, Leeven avait eu l'occasion de faire pas mal de rencontres. Et d'enfin atteindre une coupe de champagne. Et puis une autre. C'était probablement sa troisième lorsque Caroline revint vers lui, l'attirant par le bras en le forçant presque à la suivre, quand bien même elle ait une force de mouche : après tout, il allait bien falloir qu'ils passent du temps ensemble ; à roucouler, ou faire semblant de roucouler et d'autres trucs. Il n'était pas venu ici pour faire office de meuble, ou de prêtre, de toute manière. Il la suivit donc, n'abandonnant en rien sa coupe de champagne qu'il avait mis tant de temps à avoir : et voilà qu'ils étaient les premiers à s'éloigner du groupe, grimpant les escaliers, découvrant les quelques nouveaux trésors recelés dans cette maison. Et quelle baraque ! Le genre bonne à faire la couverture des magasines, le genre totalement inatteignable, le pied en définitive. A sa question, il haussa les épaules avec tout le détachement qu'il pouvait avoir, la chambre ça n'avait pas vraiment d'importance, toutes celles de cette gigantesque demeure devaient valoir leur pesant d'or : « J'en sais rien. Que ce soit clair entre nous, je te jure que je ne suis pas l'architecte de cette maison. » Donc logiquement, il ne savait pas mieux se repérer dedans qu'elle. Il ponctua sa phrase dans un sourire, entraînant la demoiselle à traverser quelques pièces, jusqu'à trouver le numéro deux affiché sur une porte. « Si mademoiselle veut bien se donner la peine. » Et son rictus se fit amusé, presque mielleux ; il fallait bien qu'ils commencent à s'amuser ensemble, rien que par quelques échanges verbaux : pour le reste, on verra plus tard.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyDim 19 Aoû - 22:22

(sorry de changé de personne en cours de route, la troisième m'inspire plus.)

La brune s'en rendait compte de la chance qu'elle avait d'être parmi les vingt quatre candidats choisis pour cette télé-réalité qui risquait d'être palpitante. Mais elle ne pouvait pas repoussé son passé en claquant des doigts, il serait toujours là pour la hanté et la faire revenir sur terre. Elle avait un sacré caractère, ce qui lui permettait de caché ces émotions intérieur, alors que l'extérieur montrait quelque chose de différent. En ce moment par exemple, Caroline ressentait de la colère et de la peine, mais elle souriait vivement à son partenaire de jeu, Leeven. Sa première idée, avait été d'allé découvrir les chambres, c'était une bonne façon de connaître un peu mieux les goûts de son binôme, comme disait la moitié des candidats. À vrai dire, dans sa tête, c'était pareil à un mariage forcé. On l'accouplait avec quelqu'un de façon systématique, mais brusque. Commencer l'aventure avec quelqu'un pouvait comporter ces risques, comme qu'aucun ne la remarque puisqu'elle était prise. Mais Caroline ne pensait pas qu'à elle, non. Il y avait aussi Leeven qui était de la partie, et en plus était son partenaire. Ils devraient s'enduré et faire croire que l'amour les avaient frappés. Lorsque le brun lui dit qu'il n'était pas architecte, la belle souria un instant ayant trouvé quelque chose à dire. « Si tu n'es pas architecte, tu fais quoi dans la vie ? » Un regard amusé se dessina sur le visage de Caroline, qui regardait avec entrain les portes de chambres. Suivant son partenaire alors qu'ils franchissaient quelques pièces, elle eu un certain plaisir a trouvé la porte numéro deux. C'était flagrant de voir un deux en noir sur une porte blanche. Caroline eu l'air d'une enfant lorsqu'il lui dit d'y allé en premier. Ces yeux pétillaient et elle ne put se retenir d'ouvrir la porte pour découvrir leur chambre. Son excitation fut telle qu'elle parla dans sa langue natale. « Mamma mia, dios es hermoso. » Elle s'avança la main sur la bouche. Cette chambre était tout simplement merveilleuse.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyDim 19 Aoû - 22:39

Cette soirée avait commencé sur les chapeaux de roue, et pourtant, aucun des candidats présents dans la maison n’avait semblé fatiguer : peu à peu, la masse autour du champagne avait diminué, dispersée en quelques groupes, et, délaissé par la demoiselle avec qui il avait franchi l’entrée de la maison, Leeven avait lui aussi eu le loisir de se mêler à quelques groupes. L’heure avait ainsi avancé, presque facilement et c’est sans fatigue pour lui miner le moral qu’il avait suivi Caroline à travers les couloirs de la grande maison pour découvrir leur chambre. Plus il avançait dans sa lente et distraite visite, plus il avait l’impression que la maison grandissait, gagnant chaque fois plus en volume. Et en voici un nouveau, qu’il allait découvrir avec Caroline : leur chambre, celle qu’ils allaient devoir partager et dans un coin de son esprit, malgré les petits rapprochements qui avaient pu déjà se mettre en place entre eux, Leeven espérait bien que la jeune femme ne rechignerait pas à simplement dormir dans le même lit que lui : il n’avait aucunement l’intention de passer des semaines à pioncer sur un canapé, ou à chercher à lui faire la cour dans l’espoir de dormir dans un lit sous prétexte qu’ils avaient été désignés l’un allant avec l’autre. Rien que pour souligner qu’il était encore plus perdu qu’elle, il laissa une petite remarque franchir ses lèvres, qui amena la demoiselle à débuter l’interrogatoire. Par une question qui le fit sourire. Ca, c’était une question anodine qui pourtant, dans le cas de Leeven, demandait pas mal d’explications. Ainsi, alors qu’ils cherchaient la chambre au numéro deux, il darda son regard sur la brune. « Je suis game designer. Pour faire simple, la prochaine fois que tu joueras à la Wii ou à une Playstation quelconque, tu penseras à moi. Et toi ? » Il sourit une nouvelle fois, invitant la demoiselle à le suivre jusqu’à leur chambre qu’il avait enfin trouvée : elle eut même le privilège d’entrer la première. Et à voir sa réaction, il la suivit de près, découvrant les lieux à son tour : c’était immense, peut-être presque de la taille de son appartement tout entier. Mais bien vite, son attention se dirigea vers Caroline, il fallait bien qu’ils apprennent à se connaître. « Alors, tu parles espagnol, hm ? » Il avait toujours été nul en langues à l’école, et à sentir son accent, c’était autre chose qu’une langue qu’elle parlait depuis le lycée. M’enfin, rien qu’à voir les réactions que la sœur de la demoiselle arrivaient à faire naître chez elle, il n’était que très peu tenté à l’idée de s’immiscer trop loin dans sa vie. Ou avec prudence en tout cas.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyDim 19 Aoû - 23:51

Son ancienne vie lui manquait énormément, et à vrai dire elle aurait adoré qu'ils ne disent pas son prénom lors de la première quotidienne. Depuis une éternité, elle n'avait pas pu croisé le regard de sa grand-mère, ou de sa Granita, comme elle disait souvent. Caroline, ou plutôt Carolina, était d'origine espagnole, mais née au Texas, ce qui la rendait particulière. Elle avait apprit très vite a parlé espagnole au tout début, alors que ces parents apprenaient l'anglais. Rapidement, ils ne parlèrent qu'espagnole à la maison, puis anglais au travail ou à l'école pour la brune. Les Roseburg/De Gratio étaient une famille unique, avec une père espagnole et un père australien. Depuis enfant, Caroline avait apprit que la grand-mère, était un signe très important pour les petites filles comme elle. C'est pourquoi elle ne manquait jamais d'allé voir sa granita qui avait emménagé à Sydney afin de voir plus souvent sa petite famille. Reportant son attention sur Leeven elle souria lorsqu'il lui dit son métier. « Designer de jeux, alors. Ça doit être vraiment amusant voir des dizaines de gosses joués à des jeux que tu as conçu. » Elle marqua une pause. Son métier était banale, elle aurait pu se faire passé pour une streap teaseuse, mais décida de laissé faire. « Fleuriste. Mais pas dans le sens de faire des bouquets de fleurs, mais plutôt d'étudiés les sortes de fleurs et d'en inventé de nouvelle. Au fond, je suis médecin des fleurs. » Elle se mit à rire fasse à la réflexion qu'elle venait de faire. Cocasse quand on y pensait bien. Caroline avait choisis ce métier par elle-même alors qu'elle avait vu sa grand-mère s'intéressé à plusieurs fleurs étant jeune. Elle avait fait des études et étaient maintenant fleuriste. Elle rêvait d'ouvrir sa propre boutique un jour. Lors de son entré dans la chambre au milles merveilles, elle ne put s'empêcher de s'exprimer dans sa langue natale; soit l'espagnole. Elle se mit à rire lors de la remarque de Leeven. « Si ! C'est ma langue maternelle. Mon père est australien et ma père espagnole. » Un sourire sur le visage, elle avança dans la chambre pour voir que ces bagages étaient déjà là, ainsi que ceux de Leeven. « Si jamais tu veux être seul, je peux aller squatter un sofa.. Quand tu en auras de besoin. »
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyLun 20 Aoû - 0:11

En les quelques heures qui le séparaient de son quotidien répétitif, rien ne lui manquait encore : si ce n’est son chien, tiens, et au combien ça pouvait paraître désespéré, c’était aussi une preuve d’indépendance. Il ne serait pas de ceux qui déserteraient au bout de quelques jours ou quelques semaines à cause du manque de leur famille, ou quelque chose dans ces eaux-là : bien souvent, il avait appris à ses dépens que son chien, lui, s’adaptait parfaitement à la vie chez la voisine, pas de quoi être pourchassé par les remords, en définitive. Son métier, quant à lui… eh bien, un dimanche, c’était tout à fait banal, pas de quoi commencer à y penser non plus. Et c’était pourtant la première chose dont ils parlaient, Caroline et lui, alors qu’ils se retrouvaient enfin seuls : seuls, mais avec des caméras partout autour, il n’en doutait pas et les yeux aiguisés de Leeven étaient encore trop souvent occupés à les chercher avec frénésie ; avec le temps, il finirait par s’y faire, mais il fallait avouer que ça avait quelque chose de déstabilisant : se savoir épier alors qu’on rencontrait des gens totalement différents les uns des autres, qu’on s’imprégnait d’un tout nouveau lieu, sans vraiment y trouver une place pour le moment. Au moins de ce côté-là, il pouvait toujours se considérer chanceux d’avoir une partenaire d’entrée de jeu : il ne serait pas paumé à ne même pas savoir avec qui partager une chambre, c’était déjà ça. Et sans doute qu’il y aurait d’autres avantages bons à contrebalancer les quelques inconvénients d’ici peu. Au moins, elle avait deviné ce qu’il faisait comme métier, mais la phrase de la jeune femme ne provoqua qu’un sourire contrit au jeune homme : les enfants, tiens, c’était bien la cadette de ses obsessions quand il concevait un jeu et d’ailleurs, il aurait pu lui avouer qu’il travaillait plus sur des jeux de rôle ou des jeux de combat, trop sanglants pour être joués par des enfants, mais il n’en fit rien. A l’énoncé du métier de la jeune femme, il la sonda un instant : oh il ne l’imaginait pas avoir un tel métier, sans pouvoir se l’expliquer. « Ca a l’air intéressant… » Mais son ton de voix disait probablement l’inverse : il était nul pour les fleurs, du genre à offrir des roses jaunes à la femme de sa vie. Il n’en pipa mot, il se contenta de son simple sourire, le regard détourné, presque distrait dans sa recherche. Qui ne fut pas longue, malgré l’immensité de la maison. Comme quoi, il avait un bon sens de l’orientation et alors qu’ils entraient, c’était un tout nouveau monde qui s’offrait à eux : comme coupé du reste de la maison, cosy et chaleureux – quoique bleu. Heureusement ils n’avaient pas de rose ou de truc du genre. Il se laissa à fureter à observer les lieux, les quelques bibelots de l’endroit, la vue sur le jardin de la propriété avant de poser ses yeux sur la brune. « Un père australien, une mère espagnole mais tu es née aux Etats-Unis. Mix intéressant. » A côté il semblait bien commun. Suivant le regard de Caroline, il trouva son sac qu’il avait presque soigneusement préparé, s’en emparant pour le poser sur un des canapés, l’ouvrir, chercher quelques-unes de ses affaires, comme pour s’assurer qu’il n’avait rien paumé. « Non. Non, ça me dérange pas… de dormir avec toi, apparemment les autres n’ont pas plus d’option que nous de toute manière. » Et puis ça n’avait rien d’une corvée, mais il haussa les épaules pour la suite. « Et puis… de même pour quand tu en auras besoin. » Quoique, il n’était pas vraiment tenté par l’idée de se coucher dans les semences d’un quelconque autre mec, un genre de maniaquerie de vie, pourquoi pas. « Personne ne dort sur le canapé ici, on est pas des sauvages. » Il l’espérait en tout cas.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyLun 20 Aoû - 1:56

La chambre, de couleur généralement bleu, laissa une image de fantaisie dans la tête de Caroline. Cette pièce était plus que ce qu'elle espérait. Elle n'avait jamais eu de chambre aussi grande que celle-ci, et aussi belle, il fallait le souligner. Tout d'abord, le miroir l'intrigua. Il était divisé en deux, et rapidement quand elle l'ouvrit, la brune réalisa qu'il s'agisait d'un garde-robe, une penderie bref. Comme il y avait deux côtés, il serait facile de divisé le territoire avec Leeven. Continuant son inspection, Caroline fut intrigué par un mur bleu au fond de leur chambre. Quand elle passa sa main, tout devint plus clair. De l'eau coulait, c'était comme une sorte de douche, ou de pluie continuel. Il y avait plusieurs boutons afin de, notamment : changé la température de l'eau, éteindre la lumière, arrêté l'eau ou bien de fermer la petite section pour une douche plus privée. La belle reporta son attention sur Leeven puis se mit à sourire. « Cette chambre est peut être banale en apparence, mais quand tu regarde mieux... » Pointant du doigt la section qu'elle venait de regarder, elle remarqua que sur la tête du lit, deux serviettes beiges/brunes y étaient posé. Une pour chacun d'entre eux, sûrement. Il ne leur resterait qu'à prendre du savon, et ils avaient leur propre douche personnalisé. Après avoir visité cette endroit, elle continua la visite pour allé s'asseoir rapidement sur le lit dans la section tout prêt de la porte, soit à gauche quand on regardait le lit de la section des pieds. Elle prit doucement un coussin contre elle avant de frôlé le tapis avec un de ces pieds, mais malheureusement ces talons l'empêchaient de pouvoir touché à la surface. Elle retira donc une de ces chaussures en utilisant son pieds, avec difficultés, pour touché à cette surface noire. Le tapis était tout simplement très doux, ça lui faisait rappelé les chiens, un animal qu'elle adorait plus que tout au monde. Tout le design de la chambre plaisait à la belle Caroline. Le bleu était une de ces couleurs préférés après le rouge. Le noir, rendait la pièce moins blanche et banal, et cette texture de bois, elle était tout simplement et complètement folle. C'était hallucinant de voir cette pièce dans toutes ces coutures. « Je trouve que le lit est petit, cependant. C'est un petit deux places, ils veulent vraiment des rapprochements entre les candidats. » Caroline se tourna pour regardé Leeven. Elle n'avait jamais réellement observé de quoi il avait l'air. Sa vision s'arrêta tout d'abord sur la grandeur de ces chaussures, acceptable. C'était quand même grand pour sa grandeur. Ces pieds n'allait pas avec lui, c'était sûr. Montant doucement, elle put voir à travers ce qu'il portait qu'il semblait quand même musclé. Comme il était tourné elle put lui regardé tranquillement le postérieur. Parfait pour un garçon en tout cas. Continuant son observatoire, la brunette monta pour regarder les abdominaux d'enfer qu'il devait caché sous ce tee-shirt. Ce mordant doucement la lèvre elle l'imaginait dans la douche sans ce stupide truc qu'il avait sur le dos, plus communément appelé chandail à manche courte. Pour terminé de le regarder, elle put fixer son adorable visage qui la regardait maintenant. La façon dont il la regardait déclencha un sourire chez Caroline. Il semblait quand même heureux de la partenaire qu'il avait eu, et c'était réciproque du côté de Caroline. Ses adorables yeux bleus étaient directement fixé sur ses prunelles à elle. Tenant toujours de façon forte le coussin noir, la belle le posa sur le lit pour continué d'observé son partenaire. Elle n'avait rien à dire. Une seule envie lui titillait le cerveau, de s'approcher plus prêt de lui. Cela devait faire plus de six mois, si ce n'est plus, qu'elle avait eu un contact avec un garçon; il faut avouer que ça lui manquait terriblement. « Tu crois qu'on pourrait gagné ? .. Je veux dire par là.. Qu'on pourrait réellement tombé amoureux à force de se côtoyer ? » Caroline était toujours assise, mais elle mourrait d'envie d'allé le joindre, elle détestait parlé. « Je déteste parler... Je suis une fille d'action.. pas très... bavarde. » Quand elle réalisa ce qu'elle venait de dire, elle plaqua une main sur sa bouche se mettant à rire. Après tout, c'était la vérité.

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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyLun 20 Aoû - 7:45

Aux rares regards poussés qu’il s’était donné la peine de laisser planer dans les alentours de la chambre, Leeven avait déjà eu tout le loisir de découvrir au combien celle-ci était tout à fait particulière : simple au premier abord, mais faite de petites touches, petites attentions précises qui lui donnaient tout son charme. C’était pourtant son sac qui attira le plus son attention, alors qu’il en profitait pour abandonner ses chaussures : pour maintenant en tout cas, loin de lui l’idée de s’endormir aussi vite et de toute manière, il aurait beau en avoir envie, l’adrénaline palpitait encore trop dans ses veines pour qu’il ne puisse trouver le sommeil. La soirée avait été riche en émotion et visiblement, rien qu’à voir les chambres ou le reste de la baraque, ils n’étaient pas au bout de leurs surprises : peut-être bien que pendant toute l’aventure, le jeune homme serait totalement incapable de s’endormir tant il y avait de choses à découvrir. Quoique, enfermés vingt-quatre heures sur vingt-quatre, la maison allait peut-être devenir vite trop petite… tout dépendait de l’ambiance globale, sûrement. Lorsque la demoiselle laissa une nouvelle remarque franchir ses lèvres, faisant s’envoler l’histoire du lit ou des potentielles conquêtes de l’autre, il la suivit du regard, pour découvrir à son tour le mur d’eau totalement discret qui donnait un peu vie à la pièce : cette chambre, le matin, avec le soleil levant, devait être encore plus agréable qu’à l’instant précis. Tout innovait dans l’endroit, et il ne manquait plus qu’une bonne entente entre eux pour rendre cet espace encore plus accueillant qu’il ne l’était en apparences : pas besoin d’électriser l’atmosphère de cette chambre en quelques disputes ou joutes du genre. Mains dans les poches, il jeta son dévolu sur le lit lorsqu’elle en parla, ne remarquant son étroitesse que dans un léger haussement des épaules. Certes, il n’était pas si grand, mais elle n’était pas non plus du genre à visiblement prendre de la place… et lui, tant qu’il avait son côté, tout allait bien. « Bah, peut-être qu’il paraît petit parce qu’il est dans une pièce immense. Tout mon appartement doit pouvoir rentrer là-dedans, ça fait misérable mais ça doit être la triste vérité. » Et jamais il ne pourrait s’offrir une maison approchant un tant soit peu la précision et la modernité de celle-ci… ça n’avait de toute manière jamais été son but principal dans la vie. Il fut quelque peu pris de court par la question que la jeune femme laissa filtrer à travers ses lèvres : est-ce qu’ils pouvaient tomber amoureux à force de se côtoyer ici, par une quelconque force des choses ? Ca c’était une bonne question, à laquelle il était totalement incapable de répondre : trop souvent, il doutait même d’être une fois vraiment tombé amoureux de quelqu’un. Enfin, sa famille en avait douté, jusqu’à lui transmettre ces doutes… il n’avait rien d’un idéaliste, c’est tout. Et ce n’était peut-être pas la question qu’il voulait se poser à une heure pareille, là, si tôt dans l’aventure. « Qui sait, apparemment tout est possible dans cette maison, c’est bien pour ça qu’on est là, non ? » Jetant un regard par-dessus son épaule à la brune, il esquissa un sourire narquois, il avait bien esquivé la question. Peut-être, peut-être pas : il n’avait jamais tenté de vivre avec des inconnus vingt-quatre heures sur vingt-quatre pendant vingt-quatre semaines auparavant. Ni même dormir dans le même lit d’une inconnue sans avoir fait quelque chose avant… Ses habitudes étaient bien trop chamboulées pour qu’il sache répondre à quelques questions du genre. Et elle aussi, puisque c’est assez maladroitement qu’elle reprit la parole, arrachant un haussement des sourcils à Leeven ; il se demandait encore s’il pouvait la taquiner un peu pour cette phrase pour le moins pleine de sens, lorsqu’elle laissa échapper un rire. N léger rire qui dissipa quelques nervosités ambiantes ; et auquel il répondit, dans un léger ricanement. Elle était assise sur le lit lorsqu’il s’en approcha, venant s’y asseoir également sans la moindre gêne : après tout, c’était le sien aussi et à tâter le terrain de la sorte, il avait l’air parfaitement confortable ; idéal comme beaucoup de choses dans cette foutue baraque, à laquelle il trouverait forcément un défaut. « Eh ben, ne crois pas que tu viens de dire quelque chose de mal, au contraire tu m’intéresses beaucoup plus, maintenant que tu as dit ça. » Il laissa échapper un nouveau rire, avant de s’allonger, plaçant ses deux mains sous sa tête, son regard se fixant sur la demoiselle toujours assise. Déjà sur le plateau il avait eu l’occasion de découvrir au combien il avait eu de la chance dans l’aléatoire des couples : elle était tout à fait à son goût, le genre d’inconnue avec qui il aurait partagé un lit sans aucun tabou. Il ne se permit de la détailler qu’un instant, avant d’esquisser quelques mouvements sur le lit, s’étirant dans tous les sens qui soient. « Tu vois ? Je t’avais dit que je ne prenais pas beaucoup de place. » Il sourit légèrement, avant de fixer le plafond, laissant un soupir franchir ses lèvres : là, c’était un bon moment de pause au milieu de cette journée pleine d’émotions. « Donc… elles font quoi les filles d’action quand elles ne veulent pas parler ? » A mesure qu’il parlait, un sourire moqueur était venu dessiner le coin de ses lèvres, c’était elle qui avait tendu le bâton pour se faire battre et il ne manquait jamais une occasion, surtout si ça pouvait permettre de briser la glace.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyLun 20 Aoû - 17:48

Le lit. Non pas qu'il était petit, mais la petite Caroline avait l'habitude d'un truc plus grand, quoi. Mais elle n'avait rien à perdre en y pensant bien. Depuis plus de huit mois, la jeune femme était seule dans son appartement sans compagnie; enfin sauf Frédérickson, son poisson rouge. L'appartement assez grand pour deux personnes normalement, avait l'air désert lorsqu'elle l'avait quitté. Remettant son poisson rouge à son frère de douze ans, elle avait eu l'esprit tranquille concernant une quelconque mort futur de son poisson adoré. Caroline avait reçu le jeune prodige, le poisson, en cadeau lors des deux ans de vie commune avec son colocataire passé. Maintenant qu'il n'était plus là, elle avait apprit beaucoup de choses qu'auparavant elle n'aurait jamais pensé être capable de faire. Par exemple, la brunette avait apprit à être autonome, à ramassé ces choses graduellement pour ne pas avoir une visite surprise de la familla, faire à mangé - quoiqu'au début c'était presque toxique pour sa santé - et a faire la lessive, chose que jamais elle n'avait fait. Malgré son jeune âge, elle se sentait capable de plus grand qu'elle, et c'est pourquoi elle avait débarqué dans une université des États-Unis afin d'étudié la biologie des plantes afin de devenir fleuriste. Plusieurs disaient qu'il n'y avait aucune formation relié à ce métier. Mais Caroline pensait exactement le contraire. Pour qu'une fleur soit unique, en santé et belle, il fallait la connaître, que ce ne soit pas un secret pour soi. En faisant ces études, Caroline s'était mis beaucoup de pression, mais chérissait toujours d'un jour inventé une sorte de fleur. Au départ de l'aventure, elle était persuadé d'avoir le métier le plus banal, d'être enfermé dans ces rêves d'enfants. Lorsqu'elle apprit le métier de Leeven, et même avant, elle sut qu'elle n'était plus seule dorénavant. Pour revenir au lit, malgré sa petitesse, il était confortable. Assise dessus, la jeune femme put le constaté par elle même. « T'inquiète, je suis juste pas habitué de dormir avec quelqu'un. » C'était malheureusement la stricte vérité. Elle aurait adoré lui dire le contraire, mais ce serait se mentir à elle-même en plus de lui. Alors que son regard était fixé sur le plancher, plus précisément le tapis, Leeven grimpa sur le lit afin de s'y asseoir, et par la même occasion de distraire la brune lors de ces pensées. En ce moment, elle se disait que si jamais il y avait le moindre conflit entre les deux jeunes gens, elle pourrait dormir par terre sur ce superbe tapis. Ce ne serait sûrement pas aussi confortable que le lit, mais ce serait déjà mieux qu'un rien. Ramenant sa vision sur son partenaire de chambre, et de vie commune pour la durée de l'émission, la belle le scruta encore. Elle n'avait pas encore répondu à sa phrase précédent, tout simplement car elle n'avait pas décidé de venir ici, sa familla l'y avait gentiment poussé, alors qu'elle venait de vivre un choc post-traumatique. « Pas seulement que pour ça, j'en suis sûre. » Caroline avait trouvé Leeven attirant dès la première seconde. Aussitôt que son regard et celui du jeune homme s'était croisé - soit lorsqu'elle fût appelé à monté sur la scène - elle avait sentie une connexion passé entre eux. Et même lorsque leurs mains c'étaient assemblés, il y avait ce champ de connexion entre eux. Elle le sentait, ils pourraient gagné à coup sûr si ils se donnaient la peine. Après tout ce n'était qu'un petit jeu d'embrassade et de câlin, rien de plus. Puis finalement, elle fût embarrassé par son elle-même. Stupide comme elle est, la phrase qu'elle venait de dire pouvait sonné complètement bien à double sens. Ce n'était pas ce qu'elle voulu dire, mais Leeven répondit quand même assez rapidement, la rassurant par la même occasion. Son coeur fit notamment un bon dans sa poitrine lorsqu'il dit: tu m’intéresses beaucoup plus. C'était une mini victoire pour elle, enfin dans sa tête et son univers. Elle le vît se couché sur le lit, position assez confortable. Comme ça, il paraissait d'un ange cornu. Beau en apparence, mais une personnalité tout autre à l'intérieur. Il n'était pas le type garçon musclé qui se la pète et qui préfère s'entraîne plutôt que d'aborder une fille. Au contraire, même. Dans un sens, Caroline en était rassuré. S'étirant de tout côté, la brunette se tourna pour mieux le regardé, réalisant effectivement qu'il ne prenait pas tant de place que ça. La belle regroupa ces jambes et les monta sur le lit, restant en position assise cependant. Au lieu de répondre à sa phrase, un sourire apparut sur ces lèvres voyant toute la place qu'elle aurait. Finalement ce n'était pas si pire comme expérience. Alors qu'elle croyait qu'ils passeraient un moment comme ça sans ne rien dire - non pas qu'elle adorait le silence - Leeven lui posa une question qui lui fit haussé les sourcils, d'un air surprise. « Attend, tu viens vraiment de me demander ça ? » La jeune femme prit ces paroles comme un air de défi et doucement s'approcha de lui à quelques centimètres de son visage. « Elles font énormément de choses, tu sais. Mais il y a une plus grande quantité quand elles sont avec quelqu'un, tu vois. » Elle avait avancé, elle ne bougerait certainement pas plus que ce qu'elle était.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyLun 20 Aoû - 20:52

Le lit. S’il n’avait pas pris la peine de s’en fourvoyer plus que de mesure, l’affaire semblait tout à fait différente pour la demoiselle supposée l’accompagner : déjà, ses réflexions avaient fusé sur la taille de celui-ci, notamment son étroitesse qui les pousserait forcément à être proches. C’était ça le but du jeu non ? En tout cas, c’était avec ce sentiment que Leeven avait signé pour s’engager dans la partie, conscient que la production userait de toutes les machinations possibles et imaginables pour les rapprocher, de quelque manière que ce soit. Ce lit, au sommier peut-être plus petit que la normale, en était une excellente preuve, et le jeune homme n’en était en rien surpris. Ce qui le surprit surtout, furent les premières réticences de Caroline, ainsi que ses paroles : ils pouvaient très bien dormir côte à côte sans avoir à chercher plus loin, si c’était ce qu’elle sous-entendait, car oui, Leeven faisait malgré tout partie de ces hommes capables de trouver le sommeil sans leur dose de sexe quotidien. Vraiment pas de quoi en faire un fromage selon lui, mais il s’appliqua à suivre les paroles de la demoiselle, sans même émettre la moindre réponse déplaisante : c’était le premier soir, le soir de la reconnaissance, et de la découverte de l’un et de l’autre… ses réflexions, il les laissait pour un jour à venir, où le temps faisant et l’étroitesse de cette situation accentuant le tout, il ne pourrait avoir assez de patience pour retenir toutes les vérités qu’il pouvait retenir, à l’égard de chacun des candidats qu’il avait déjà croisés dans cette maison. Tout le monde a des défauts, il paraît, hm ? Et s’il ne voulait pas se faire virer dans les premiers, mieux valait qu’il fasse bonne figure. Que ce soit auprès des autres, ou auprès de sa partenaire attitrée. La réponse de la demoiselle le surprit pourtant, lui faisant lever les yeux une nouvelle fois pour examiner la silhouette de la jeune femme, ainsi que son visage qui laissait, malgré elle, transparaître foule de ses pensées. Que devait-il répondre à ça ? Rien, probablement, et ce fut la meilleure option qui se présenta à lui, alors qu’il ne pipa mot en guise de réponse, se contentant de détourner le regard et d’enterrer cette histoire : pour plus tard, quand elle serait plus encline à se livrer à lui plutôt qu’à relever les inconvénients à être avec lui. Elle était plutôt jolie, voire vraiment jolie, et attirante à ce qu’il avait pu voir en faisant sa connaissance sur le plateau et, peut-être bêtement, il avait comme le sentiment que le courant passait bien entre eux : trop bien pour qu’il ne veuille envenimer les choses si tôt, prêt à faire des efforts là où, trop souvent, elle se montrait distante, et bizarre. Il y avait pourtant quelque chose, d’invisible et d’indéfinissable qui prolongeait la patience du jeune homme jusqu’à l’extrême, l’amenant à garder le silence, oublier quelques paroles distraites et indiscrètes, effacer les commentaires sarcastiques qu’il aurait habituellement fait. Tout ceci s’envola avec le rire de la demoiselle, qui eut le don de sensiblement détendre l’atmosphère, arracher un sourire confiant au jeune homme, alors qu’il était allongé sur le lit, prêt à esquiver les soucis pour se concentrer sur le positif. Pour ce soir en tout cas. Il la vit même se rapprocher, se décidant à poursuivre la conversation sur un ton plus humoristique : les présentations qui traînent en longueur, ce n’était pas son genre et il estimait que le plus important filtrerait avec le temps. En remarquant la réaction de la demoiselle, il ricana, l’octroyant d’un léger coup amical au bras comme pour la prendre à partie. « Bien sûr que je te demande ça, et réponds vraiment, je suis impatient de savoir comment tu t’occupes quand tu ne fais pas germer les fleurs. » Il la vit s’approcher, enfin presque détachée de la réserve qu’elle pouvait encore avoir à son encontre : tant mieux, le naturel commençait à revenir au galop, ils n’étaient pas là pour se bouffer la vie l’un l’autre, il fallait bien qu’elle le comprenne. Et remarquant ses lèvres si près de son visage, Leeven ne put s’empêcher de se mordiller légèrement la lèvre, mimant un air fortement intéressé alors qu’il vrillait de son regard les prunelles claires de la demoiselle. « Je me disais bien, que l’inventivité des femmes d'action avait ses limites. » Il sourit, détaillant son regard, laissant même à ses azurs le loisir de détailler le tracé de ses lèvres avant de la regarder à nouveau ; il avait l’habitude de ces genres de rapprochement, qu’elle n’ait pas peur qu’il lui saute dessus comme un chien en rut juste parce qu’elle s’était rapprochée. Avec douceur, il attrapa le bras de la demoiselle, l’amenant à s’allonger à côté de lui. « Y’aurait presque de la place pour une troisième personne. » Invisible, pour le moment, puisqu’ils étaient assez proches, là, maintenant. Si près d’elle d’ailleurs, il dessina la courte distance entre eux dans un léger mouvement des doigts. « Alors ? La distance de sécurité convient à madame ? » Autant bien s’entendre sur tout, hein.

à la base j'avais prévu de faire court private life, or not. ~ leeven 1881463262
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyMar 21 Aoû - 1:03

La bulle de vie, cette chose invisible dont tout être humain a et fait un jour mention à un autre humain. Cette bulle sert à protégé la personne de tout rapprochement non-voulu en plus d'assuré une certaine assurance et une protection. Cette bulle pourtant fausse et invisible, est assez puissante pour complètement rendre deux êtres à plus d'un mètre l'un de l'autre. Caroline, avait une bulle plus ou moins grande avec certaine personne, alors que pourtant la majorité du temps, elle était aussi large qu'un éléphant, et pour un rien, elle pouvait s'agrandir encore plus. Pourtant avec Leeven, cette zone infranchissable avait depuis longtemps été réduite et franchi par le jeune homme. Dès leurs premiers regards, elle avait complètement éclaté. À vrai dire, la brunette s'attendait à tout sauf à ça, puisqu'elle avait encore une bulle assez prononcé avec sa propre soeur. Avec son binôme, tout était possible, elle le sentait. Ce n'était pas - ou plus - une corvée d'être avec lui, mais un plaisir, malin et coupable à la fois. Elle savait que de s'approcher trop prêt de lui, la ferait complètement perdre la tête, comme en ce moment dans leur chambre. Tous deux étaient dorénavant couché sur le lit, prêt un de l'autre - peut être même un peu trop. Le coeur de Caroline battait à un rythme plutôt normal alors qu'elle se serait attendu à tout le contraire. Le brun devant elle, en plus d'être remarquablement gentil et doté d'une très belle poésie et intelligente, avait une apparence physique indéniable. Ces cheveux couleur de corbeau semblait lisse et agréable au touché. Ces yeux, étaient tout sauf laid. Le bleu azur de ces yeux laissait Caroline plongé dans une sorte de nouveau monde, la plongeait dans une transe sans retour. Les lèvres du jeune homme devait être cette petite chose qui faisait le plus craqué - et qui la rendait folle - Caroline. La jeune femme en les regardant eu creux au pêchés humain. Leurs beautés, leurs courbes, leur couleurs lui donnait des douleur abdominale. Juste à les regardé, Caroline se crut être Ève, alors que ces douces lèvres serait la pomme, une tentation laissant un point de non-retour entre cette ligne infranchissable. La belle ne parlait pas, elle n'avait rien à dire, et piper un seul mot rendrait cette atmosphère inconfortable. Rapidement, elle se sentit bien en la présence de Leeven, ne voulant pas le laissé partir. Bien sûr, elle dut à de nombreuses reprises tourné un peu la tête lorsqu'il parlait, son souffle lui donnait la nausée. Au plus profond d'elle-même, son coeur lui disait de tombé amoureuse de ce garçon, alors que sa tête se refusait une seconde tentative d'aimé quelqu'un sans qu'il ne devienne un ange déchu. Quand Caroline aimait, cet amour la consumait jusqu'au plus profond d'elle-même, et ce n'était plus seulement que son corps qui aimait, c'était tous ces sens, et au plus profond même, son âme. Dans un passé, elle avait vécu cet amour, mais elle n'était pas prête a retombé dans ce piège qu'était l'amour. Pour elle, c'était maintenant une fausse au lion, si elle y entrait, plus jamais elle ne pourrait en sortir vivante, ou bien sans être blessé. La déchirrure lui faisait trop mal pour qu'elle éprouve quoique soit. Pourtant, elle s'obstinait avec elle-même. Devait-elle se laissé allé, ou se préservé, resté sur ces gardes ? La naïveté d'une jeune innocente contre l'expérience déchu d'une âme dévouée. Lorsqu'il la regarda dans les yeux, tout sembla allé le plus lentement possible. Elle put voir un monde complet dans les yeux de Leeven. Comme si elle fût transporté à un autre endroit. Elle ressentait à ce même moment la paix intérieur et l'envie de s'avancer un tout petit peu de lui. Puis quand le moment sembla parfait, il lui prit doucement le bras pour la tourner sur le côté. Stupéfaite, et coupé de sa bulle de perfection, Caroline fronça le regard. Lorsqu'il mentionna une troisième, elle ne put s'empêcher d'ouvrir la bouche, complètement estomaqué. « Pas question que quelqu'un vienne avec nous, je te partage pas. » Et puis, merde. Elle venait de dire la pire bêtise du monde, mais elle s'en fichait dans un certain sens, puisque c'était la stricte vérité. La belle se tourna sur le côté après que Leeven lui est montré la distance qui les séparaient un de l'autre. « J'ai pas besoin d'une distance de sécurité avec toi. Enfin, plus maintenant. Pas depuis que je sais que je t'intéresse de plus en plus. » Un sourire sur le visage, Caroline s'approcha de lui, posant doucement une main sur le torse de Leeven - au ralentis bien sûr, pas certaine de ce qu'elle faisait - tout en se collant un peu contre lui. La distance ne l'effrayait plus, elle avait l'impression qu'elle pourrait facilement en tombé amoureuse. Il ne lui restait qu'à espéré une certaine réciprocité.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyMar 21 Aoû - 1:58

C’était sensible, invisible. Palpable. Ces rapprochements subtils qui s’opéraient entre eux, brisant l’effroyable solitude qu’ils auraient pu ressentir là, balancés dans une grande arène pour une aventure dont ils n’avaient peut-être pas mesuré l’ampleur. Encore maintenant, Leeven était incapable de savoir si commencer l’aventure avec Caroline au bras était une bonne chose, ou plutôt un handicap pour l’avenir : si la production n’allait pas plutôt décider de leur faire vivre mille torpeurs dans l’espoir de faire grimper leurs audiences. Pourquoi est-ce que ça avait dû tomber sur lui déjà ? Inlassablement, à mesure que la soirée avançait, Leeven passait d’appréhensions sourdes à contentements discrets, alors qu’il en découvrait chaque fois un peu plus sur la jeune femme qui lui servait de binôme. Ou à chaque fois qu’elle esquissait quelques gestes à même de creuser la distance entre eux : sans conteste, elle restait une énigme pour lui, tout autant qu’il était une énigme pour elle. Les heures depuis lesquelles ils se connaissaient se comptaient sur les doigts de la main, et depuis leur entrée dans la maison, ils s’étaient souvent perdus de vue à fureter chacun dans leur coin. C’était donc un moment de plénitude tout à fait appréciable qu’ils partageaient là, dans le cocon presque familier que représentait leur chambre toute attribuée. Ca semblait simple, d’une logique implacable qui les faisait sensiblement se rapprocher à chaque seconde passant. Ils étaient fous, bercés de quelques illusions éphémères. D’une éphorie grisante, peut-être bien, qui aurait tôt fait de les ramener sur terre. Plus tard. Pas maintenant. Sensiblement précieux, il n’était même pas complètement lui-même en la compagnie de la jeune femme : probablement en précautions vis-à-vis de leur première joute verbale. Tout ce qu’il ne voulait pas, c’était se friter avec elle dès le premier soir, et c’était ça qui le rendait si… imperturbable. Imperturbable alors qu’il se plongeait dans les méandres de l’inconnu. De l’incertitude ? Alors qu’elle se rapprochait sensiblement, qu’elle s’allongeait à côté de lui, partageant quelques fugaces secondes silencieuses, quelques échanges à même de leur arracher un sourire. De la faire rire, alors qu’il avait cru, à leurs premières paroles sur le plateau, qu’il en serait bien incapable avant un long moment : comme quoi, il brillait aussi dans l’art de ne pas être totalement lui-même, quand bien même ses vieilles habitudes puissent revenir au galop assez vite. Il lui sembla qu’elle l’examinait, dans les légers silences se posant entre eux, alors qu’il n’y avait que leurs regards pour se vriller, leurs gestes pour parler à leur place. Il s’octroya le droit d’en faire de même, sondant ses prunelles de ses azurs avec intensité : elle avait de beaux yeux verts, une brune aux yeux verts, quelle aubaine ! Là, si proches l’un de l’autre qu’ils l’étaient, la chaleur de la demoiselle semblait glisser sur lui, sinueusement mais avec douceur, comme communicative. Il se laissa entraîner par celle-ci, son regard détaillant la finesse de son visage, le précis de ses traits, sculptés avec art, tout autant que ceux qui faisaient onduler sa silhouette, marquer son corps de quelques charmes notables. Restait une distance palpable, de laquelle il ne se fourvoya guère, si ce n’est pour tenter de s’en débarrasser en quelques paroles, quelques gestes subtils qui les rapprochaient l’un de l’autre. Aisément, il franchissait ses barrières, abaissait les siennes, découvrant le Leeven des premiers jours. L’éphémère, peut-être ? Vingt-quatre semaines, c’était plutôt une longue durée, qui serait sans doute parsemée de bien des soucis, alors ?

Ces doutes, il les avait effacés à l’instant où il avait suivi la jeune femme jusqu’à leur chambre, peu désireux d’être celui qui mettrait les premiers nuages à leur relation. Il n’avait jamais appréhendé une fille de la sorte, c’était indéniable et totalement non conventionnel, au combien il ne s’était jamais appliqué à l’être, conventionnel. Et peut-être bien que leur approche sensiblement différente l’amenait logiquement à changer un poil ? C’est pourtant avec toute la simplicité du monde qu’il était allongé à côté d’elle, n’esquissant pour attentions que quelques sourires, quelques paroles : l’habituel Leeven aurait déjà fait endurer à la demoiselle quelques rapprochements bien plus intimes, rien que pour avoir ce qu’il voulait. Sauf que là, il le savait, il n’avait aucune chance de fuir le lendemain pour ne pas donner la moindre nouvelle. Et qui sait où tout cela les mènerait… il était trop spontané pour y penser, trop spontané même pour chercher au fond des abîmes de son poitrail ce que ses instincts pouvaient bien lui dicter. Il agissait juste sous le coup de l’impulsion, à chaque fois, guidé par le phare du regard de la jeune femme, amené vers des pentes dangereuses. Délicieusement dangereuses. Il laissa échapper un léger ricanement, lorsqu’elle émit des réticences à l’idée d’inviter une troisième personne par ici : oui, c’était déjà assez bizarrement tendu par ici… ou peut-être qu’ils se complaisaient parfaitement juste l’un avec l’autre. Rien d’autre, personne d’autre. Ni même la fête, ni même qui que ce soit. Cependant, il fut incapable de formuler la moindre réponse, se sentant comme dangereusement en équilibre sur un fil tendu ; très haut dans le ciel, là où la chute serait mortelle. Il n’y avait certainement pas plus indécis que lui niveau sentiments, et peut-être bien qu’il s’affolait discrètement tout seul, à faire des conclusions hâtives sur de simples paroles de la demoiselle. Tomber amoureux, il n’avait que trop souvent estimé que c’était bien la dernière chose dont il avait besoin dans sa vie… jusque-là, en tout cas. En sentant la main de Caroline se poser sur son torse, il se permit de joindre la sienne à celle-ci, esquissant sur son dos, quelques caresses subtiles, sensibles contre son épiderme délicat. Si doux. Elle avait la peau douce, pour sûr, incroyablement douce, mais il n’en fut guère surpris, et ne s’en fourvoya pas plus que de mesure, alors que dans leurs rapprochements, c’était inlassablement sur les lèvres doucement rosées de la jeune femme que ses azurs se posaient. Est-ce qu’ils allaient vraiment tenter le diable ? Passer pour de gros stratèges ? Ou tout simplement se laisser aller. Sensiblement, il se tourna vers elle, gardant sa main dans la sienne mais réduisant plus encore le néant qui les éloignait. « Je savais bien que ça t’avait plu, cette phrase. » Pour appuyer ses paroles cette fois, il laissa juste un sourire passer sur ses lèvres. Distraitement, comme s’il était à présent plongé dans d’autres préoccupations que leur conversation : elle avait raison, parfois, c’était mieux de ne pas parler. Tenter le diable, sauter à deux pieds dans le plat. Ne pas réfléchir, après tout, c’était ce qu’il faisait souvent ! Toujours, même. C’est à l’orée de ses lèvres qu’il se rendit compte qu’ils s’étaient à nouveau sensiblement rapprochés, dangereusement rapprochés, comme attirés sans s’en rendre compte. Sans vouloir se l’avouer. Tout autant qu’ils fuyaient, qu’ils se distrayaient en quelques paroles, c’était irrémédiable. « Tu m’intéressais déjà plutôt pas mal avant ça. » Comme une confession, ils avaient été chuchotés tout près d’elle : rien n’échappait aux caméras de l’endroit, mais tant pis. Et tant pis aussi lorsqu’il laissa ses lèvres s’aventurer au coin de la bouche de la jeune femme, y déposant un baiser aussi subtile qu’une caresse, étonnamment tendre, étonnamment discret, comme s’il s’autorisait maintenant le droit d’être sur la réserve. Patient, peut-être bien alors que dans les quelques secondes que dura ce baiser distrait, celui-ci passa de l’empreinte discrète au geste pur et dur d’un début de confession privé de mots.

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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyMar 21 Aoû - 18:59

Son coeur bondait dans sa poitrine en ce moment. Cette sensation qu'une seule fois avait bien voulu l'envahir, l'enrobé. Jamais auparavant Caroline n'avait senti qu'elle se dévouait dans une cause déjà perdu d'avance. Qui aurait pu pensé que la perte d'un être cher puisse la rendre aussi, naïve ? Était-elle devenu insensible avec le temps, ou était-ce seulement une illusion ? L'amour, elle l'avait adoré, chéri, puis rapidement détesté avec une haine folle, qui l'avait elle-même rendu folle. Avant de mettre les pieds dans cette maison, elle était tout le contraire de ce qu'elle essayait d'être dans ce stupide show. Pourquoi essayer d'être une autre ? Peut être parce qu'elle ne voulu plus être cette fille qui jadis avait été blessé par tant de chose, qui avait faillit à deux reprises mettre fin à son existence. L'amour, non plus jamais pour elle; c'est ce qu'elle n'arrêtait pas de se dire. Mais qu'arriverait-il si un jour cette sensation si belle en apparence et laide en profondeur, lui prenait de nouveau ? Caroline n'avait pas vécu que la beauté de l'amour dans sa vie, au contraire, elle avait vu toute ces facettes. Dans sa mémoire, tout semblait trop prêt pour qu'elle fasse un trait sur tout pour à nouveau être capable de tombé amoureuse de qui que ce soit. Leeven était un garçon plus que bien, mais serait-elle capable d'enduré le fait qu'il pourrait se passé la même chose qu'avec Jenkins ? Rien que d'y pensé, son coeur se séparait en milles morceau. Temporellement, Caroline était maintenant par terre incapable de respiré. Pourquoi la vie essayait de la faire souffrir, de lui rappeler comment il avait été dur de dire au revoir à son fiancé ? Comment avait-elle pu seulement lui enlevé, à elle ? La Caroline qui avait vécu toute cette aventure, avait été noire, complètement vide. Dans ces yeux verts étaient apparus le néant, un vide immense. Son visage était devenu lucide, et bientôt sa peau pourtant foncé, avait commencer à devenir blanche. Ces cheveux si magnifique était devenu laid, cassé. Le matin, elle ne prenait même plus la peine de bien s'habillé correctement. Mais le pire avait été ce jardin de rose. Ceux qui connaisse bien Caroline, savent que la chose à laquelle elle tient le plus, pour laquelle elle pourrait mourir, ce sont bien ces fleurs, mais surtout son jardin de roses. Elle faisait poussé un petit jardin en mémoire à toutes les âmes perdus du monde. À travers ces quelques fleurs, elle voyait une puissance immense, mais surtout une espérance hors pair. Pour Caroline, les roses représentaient la beauté d'un personne ainsi que sa vulnérabilité à vite s'effondre. Ce n'était pas seulement pour la beautés de ces fleurs que Caroline faisait ça, mais surtout parce qu'au fond, elles lui ressemblaient . Après quelques mois, cependant, la jeune femme s'enferma tranquillement dans une sorte de transe. Qu'encore aujourd'hui, elle avait. Il était hors de question qu'elle s'attarde à l'amour, alors que celui-ci ne cessait de la fuir sans cesse comme la peste. C'était comme un virus qui ne cherchait qu'à l'envahir, alors qu'elle le repoussait sans cesse. Elle n'en voulait pas, elle ne pouvait pas.

Une protection, voilà ce que Caroline ressentait en ce moment, étant doucement collé contre son binôme, mot qu'elle détestait plus que tout au monde. Ils n'étaient pas forcé de faire ce qu'ils présentement faisaient. Après tout, leur accolade, leur mains ensembles, n'étaient pas une obligation, mais bien de la volonté. La brunette n'avait pas pu résisté à l'envie de doucement se collé à Leeven, l'occasion se présentait trop bien. Aussitôt qu'elle se rapprocha, déposant sa main sur le torse du jeune homme, elle sut que bientôt, il pourrait certainement sentir son coeur battre une sorte de charade folle. Très rarement la jeune femme laissait son coeur la dirigé, ou bien ces envies. Bien évidemment, elle détestait parlé, et préférait agir, mais dans ce cas-ci, n'était-il pas plus prudent de ce taire et de ne rien faire ? Tant pis alors, elle allait y allé pour le côté dangereux. Doucement, comme pour la rendre encore plus folle de lui, Leeven rassembla leur main ensemble, geste qui ne déplut pas à notre Caroline qui se mit à sourire doucement. Un de ces sourires compatissant, heureux, et sans remords. Pendant quelques secondes, elle laissa son imagination s'emporter vers un tout autre monde. Elle se laissait le droit après tout de rêvé, c'était pour ça qu'elle était venu ici, pour reprendre espoir en l'amour, ce brave sentiment qui autrefois l'avait attendri et rendu si heureuse. Caroline ne pensait qu'elle pourrait tombé amoureuse de Leeven en si peut de temps, c'était insensé, et complètement fou. La brunette était pourtant assez attiré par lui pour ce laissé allé sans avoir peur. Ils se connaissaient depuis seulement quelques heures, mais tout semblait allait trop bien - et vite - pour qu'ils puissent s'arrêter là. En voyant que le brun se retournait, un nouveau sourire se percha sur le visage de la belle. La distance qui jadis les éloignaient était maintenant presque réduite à néant. Pourtant, aucun des deux ne semblaient vouloir daigné s'éloigné. Peut être que finalement, elle n'était pas la seule a éprouvé quelques sentiments, ou a trouvé qu'ils pouvaient allé loin ensemble. Suite à ce qu'il dit, Caroline laissa échappé un petit rire. « Je suis convaincue que ce ne sera pas la dernière qui me plaira. » Remplaçant ces rires pour un sourire, la belle plongea doucement son regard dans les yeux bleus azur de son partenaire de chambre. Dans ces yeux, elle pouvait voir plus que son reflet, elle pouvait un monde nouveau, pleins d'espoir. Cette sensation, elle l'avait déjà ressentie. Être perdu dans l'iris de quelqu'un, à un tel point qu'elle en perdait la parole. Pourtant, en ce moment si paisible, elle ne se donna pas le droit de pensé à lui. Qu'était-il maintenant, dans ce monde où seul elle et Leeven étaient ? Cette bulle d'amour qu'elle avait encore autour d'elle à son arrivé, et dont elle avait senti qu'elle était menacé en voyant son partenaire sur le plateau, était maintenant complètement disparu. Une autre bulle, beaucoup plus puissante l'enrobait maintenant. Mais dans cette bulle, elle se sentait beaucoup moins seule, puisque son binôme l'accompagnait. Caroline se sentit rougir, lorsque doucement, sans égard, le brun lui murmura une phrase à l'oreille. Son coeur se mit à battre beaucoup plus vite, et une chaleur vive, agréable mais embarrassante l'envahit. Perdu dans le bleu des yeux de Leeven, elle ne le vit pas arrivé lorsqu'il posa ces lèvres contre les siennes. Tout doucement, elle ferma les yeux, appréciant ce moment, les laissant clos plusieurs secondes après qu'il se soit reculé de quelques centièmes. Sa manière d'agir, elle le savait et le sentait, n'était pas une habitude chez lui. Au contraire. Il semblait vouloir y allé doucement avec elle, comme s'il se retenait de quelque chose, où qu'il avait peur. Lorsque cette pensé traversa Caroline, ces yeux s'ouvrit de nouveau pour le contemplé. Pourquoi venait-il de faire ça exactement ? Parce qu'il avait de l'intérêt pour elle, ou parce qu'il voulait tout simplement embarqué dans un jeu ? Un jeu que Caroline ne jouerait pas. Tout ce qu'elle avait fait, ou dit, avait été des plus sincère avec lui. Il ne lui restait qu'à espéré que ce soit la même chose. « Tes lèvres sont vraiment douces. » Elle s'était donné le droit de lui dire, combien elle avait adoré ce léger baisé. Doucement, Caroline se laissa bercer par cette agréable sensation qui l'amena à doucement posé ces lèvres de nouveau sur celle de Leeven, comme pour appuyer ces propos. Pourtant, en moins de deux, elle les retira réalisant ce qu'elle venait de faire. Était-ce réellement elle, ou bien elle divaguait ? Elle ne pouvait pas tombé amoureuse de lui, elle ne le pouvait pas. Effrayé, la belle commença a respirer avec difficulté et changea son regard de direction, collant pourtant sa tête contre celle de Leeven. Elle se sentait rassuré dans ces bras. Et qui savait combien de temps, ça durerait.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptyMer 22 Aoû - 15:14

Peut-être bien que c'était une séance de charme à la Leeven tout craché : après tout, il n'avait pas dans l'habitude de faire les choses à moitié, ou de se priver des occasions qui crevaient les yeux : à croire que ce début d'aventure ne le changeait pas tant que ça. Ou moins qu'il ne l'aurait imaginé au premier abord, alors qu'il se retrouvait d'office fiché aux bras d'une inconnue. Dans un jeu de télé-réalité, de tels rebondissements étaient tout à fait prévisibles, et c'était simplement le fait d'être choisi parmi tous les autres pour être un homme "engagé" dès le début de l'aventure qui le surprenait plus qu'autre chose. Quoique, avec l'allergie qu'il avait affiché pour les couples pendant toute la durée du casting, il y avait de quoi faire jaser, rien qu'en le mettant en équipe avec une demoiselle. En temps normal, hors de cette émission, l'approche de Leeven aurait sûrement été plus incisive, lourde de sous entendus et bien entendu, avec mille et un plans divers et variés en tête : c'était comme ça qu'il fonctionnait, qu'il avait presque toujours fonctionné. Les autres circonstances à vrai dire - à savoir les histoires de coupe - n'étaient franchement pas faites pour lui : trop de femmes le pensaient immature, tout simplement parce qu'il affichait ouvertement son non désir de construire quelque chose de concret, ou le peu d'intérêt qu'il avait à se projeter dans l'avenir. Il n'avait rien d'un gentleman, au combien il pouvait pourtant s'avérer charismatique et charmant, et à appréhender Caroline, en quelques paroles il avait compris qu'elle, c'était tout le contraire de lui qu'elle recherchait : définitivement, leur relation avait tout pour être une bombe à retardement, qui exploserait au moindre faux pas de l'un ou de l'autre, voire à la moindre prise de tête. Et le début de leur aventure commune avait annoncé la couleur bien vite. Et c'était peut-être bien de telles attitudes, de tels débuts difficilement engagés qui amenaient Leeven à user d'un peu plus de prudence. Ou de discrétion dans ses approches. Mais pourtant, alors qu'ils avaient semblé démarrer sur des bases complexes, voilà que le contact se facilitait à présent, dans l'intimité de cette chambre. Intimité factice, puisqu'il y avait probablement, quelque part, une caméra planquée qui les espionnait pour trouver le meilleur sujet à pondre sur eux. Bravo. Et alors qu'ils se rapprochaient sensiblement, il n'y avait pas à douter que cette attitude avait tout pour s'afficher comme un vulgaire jeu bien ficelé. Peut-être de la part de la jeune femme, en tout cas, alors que Leeven, lui, se contentait de lentement - mais sûrement - se laisser aller à ses bonnes vieilles habitudes : quelques paroles charmantes, échanges subtiles, caresses sensibles. Peut-être quelques ressentiments de plus, auxquels il ne voulait certainement pas se confronter. Pourquoi est-ce que subitement tout basculait de la sorte ? Il ne s'en fourvoya que de faibles secondes, en sentant les subtiles rapprochements qui se jouaient entre eux : et dire qu'il y a quelques instants, ils parlaient de celui qui pourrait potentiellement dormir sur le canapé si l'autre en décidait autrement. Et alors quoi ? Tout autant qu'un brin de scepticisme trahissait Leeven, celui-ci ne retint pourtant pas ses gestes. Ils étaient différents, totalement différents, c'est cette réalité qui lui traversait l'esprit quand il laissait ses azurs sonder ses prunelles ; rien qu'aux discussions qu'ils avaient eu, cette conclusion n'avait rien d'une découverte. Ce n'était pas un baiser, qu'il déposa sur ses lèvres, juste une empreinte subtile et discrète d'une once d'hésitation le rattrapant : des filles faciles, pour en avoir côtoyé des masses, il savait ce que c'était, et Caroline, en ces quelques regards sensibles qu'elle posait sur elle, pleins d'une vérité éclatante, n'avait rien de ce genre de femmes. Rien du genre qu'il appréciait à côtoyer juste pour la consommation. Et quant au reste... non, ce n'était définitivement pas fait pour lui. Et en quelques heures de jeu, passées à se côtoyer en quelques interludes au milieu des autres, ce n'était absolument pas envisageable. C'est ainsi qu'aussitôt fait, il regretta son geste, laissant échapper un léger soupir alors qu'il levait les yeux vers le plafond. Pourquoi est-ce qu'il avait dû se fourrer dans une situation pareille déjà ? Les paroles de Caroline, c'est distraitement qu'il les écouta, lâchant qu'il léger rire, c'était bien la première fois qu'on relevait ça chez lui, généralement, on le détestait trop avec ses sales attitudes pour penser à de telles choses. Non, les baisers doucereux décrochés dans quelques murmures, ce n'était définitivement pas son genre. Le baiser qu'elle revint aventurer sur ses lèvres sema un nouveau trouble chez le jeune homme, qui s'en défit, dans le même geste que celle-ci ; apparemment, ils étaient tous les deux rattrapés par des masses de questionnement, mais c'est Leeven qui rompit en premier ce moment gênant, se redressant discrètement, pour venir s'asseoir sur le lit comme elle l'avait été quelques instants plus tôt. Passant vaguement une main dans ses cheveux, il soupira. Lâchant un léger ricanement. « Eh bah, je crois que ce lit est fait pour toutes les circonstances. » Pour appuyer ses paroles, il arqua un sourcil, observant le reste de la pièce comme pour détourner son attention : pour sûr, il ne s'excuserait pas pour ce qu'il avait fait, et il n'avait pas envie de revenir dessus. Il se leva donc, retrouvant son sac pour déballer quelques unes de ses affaires. « Alors, dis-moi, qu'est ce qui t'a fait participer à l'émission ? » Peut-être que c'était pour changer de sujet. Ou peut-être que c'était vraiment pour savoir : si elle était une fin stratège qui feignait très bien l'innocence affichée, ou s'il fonçait droit dans un mur.
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MessageSujet: Re: private life, or not. ~ leeven   private life, or not. ~ leeven EmptySam 25 Aoû - 4:07

La tentation, comme c'était un marché vicieux. Jouer avec ce sentiment, avec ce jeux était dangereux, mais pourtant, les deux jeunes gens de la chambre deux ne semblaient pas s'en rendre compte. Chacun tentait l'autre, d'une façon ou d'une autre. Ce jeux, pouvaient pourtant les tués, les rendre insensible, ou au contraire sensible. La tentation, tout comme Ève avec la pomme, avait une source, ou plutôt une mauvaise foie ou but. Comme le serpent dans cette histoire de catéchèse. Qui après tout ne connaissait pas l'épilogue de la bible! Dans ce jeux, deux êtres humains éprouvaient des sentiments, furtif, réel, mais éphémère. Cette sensation qui ne durait qu'un court instant finissait toujours par disparaître. Dans ce contexte, il s'agissait de Caroline et Leeven. Leur amour serait-il aussi éphémère que celui des fleurs, ou d'Adam et Ève ? La tentation dans ce contexte, était la distance entre les deux interlocuteurs, les deux concernés. Le jeune homme avait d'abord commencer en posant ces douces lèvres, oh oui, si douce, si irrésistible. Puis il les avait retiré, laissant une Caroline confuse mais heureuse, au dépourvu d'émotion, d'action. Elle avait finalement posé ces lèvres contre celle de son partenaire. Un baisé si magique qui ne dura qu'une fraction de seconde, puisque Leeven y prit fin assez rudement se redressant sur le lit. Caroline le regarda, impuissante, sans aucune réaction. Que devait-elle faire après tout. Ils n'en étaient qu'à la première nuitée ensemble, c'était déjà un assez bon départ pour de faux amants. La douce vérité qui avait assemblé Caroline de Leeven, les ramena à la réalité. Pourvu de paroles, la jeune femme préféra ne pas piper un seul mot. Elle préféra soupiré pour se couché sur le dos, fermant les yeux. Que devait-elle faire maintenant qu'elle s'était ridiculisée ? Comme sauvé par une certaine cloche, Leeven changea de sujet, abordant celui dont elle ne voulait pas parlé, celui qu'elle redoutait. Se mettant en position assise sur le lit la belle ne fit que dire quelques mots. « C'est.. complexe. » Ce l'était. Plusieurs mois plutôt, Caroline vivait le parfait amour, mais la vie avait modifié ces plans d'avenir. flashback La jeune femme entra dans son appartement, avec plusieurs boîtes. C'était comme ça depuis prêt d'une semaine. Ils venaient puis repartait pour allé chercher des boîtes à leur maison respective. Caroline et son fiancé, Jenkins, avaient décidé de finalement se lancé dans une grande aventure, le mariage. Mais bien avant, ils prirent la décision de déménagé ensemble dans un appartement, pas si petit, pas si grand, du Texas. Ils n'étaient pas très loin de leur famille, mais voulaient tout de même un peu d'intimité. Cette même journée, Jenkins embrassa rapidement Caroline puis repartie chercher les deux dernières boîtes qui n'avaient malheureusement pas pu entré dans la voiture. Sourire sur les lèvres, il partie en direction des boîtes. La brunette commença à déballé les boîtes. Une heure passa, et pourtant elle ne s’inquiétait pas. Il était sûrement partie faire quelques courses pour qu'ils puissent mangé un petit quelque chose. Après plusieurs minutes à soufflé - un peu épuisé de retirer le contenu des boîtes - Caroline entendit cogné à la porte. Lorsqu'elle répondit, sourire au visage, elle vit un policier qui la regardait tristement. Il lui annonça à ce même moment que son fiancé - à elle - venait de mourir suite à un accident de voiture. Le visage, deux minutes plus tôt enjoué de Caroline se transforma soudain en un visage de détresse, de déprime, d'incompréhension mais surtout de tristesse. S'effondrant sur le sol, la belle commença à pleuré. La même journée, qu'ils devaient emménagé, deux mois avant leur mariage, son fiancé mourraient, la laissant seule avec un mariage à annulé, de A à Z, mais surtout, il la laissait dans un appartement vide, avec comme seul compagnon, Frédérickson, son poisson rouge. flashback off Revenant à la réalité, Caroline regarda alors Leeven. « Il y a maintenant huit mois, mon fiancé est mort dans un accident de voiture. J'ai passé sept mois à pleuré sa mort, à déprimé. Ma famille s'est tanné, et ma granita m'a inscrite à cette télé-réalité pour me redonné confiance en l'amour. » Au moins, elle venait de lui dire la vérité. Une larme coula sur la joue de Caroline, alors qu'elle venait de lui dire toute l'histoire sur sa raison ici. « Et toi ? Me dit pas que c'est parce que tu n'étais pas populaire auprès des filles, je ne vais pas te croire. » Un léger sourire, quoique faux, au lèvre, Caroline posa son regard sur lui. Pas question de parlez plus longtemps de son ex-fiancé.
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